Dans Comme à Ostende, repris en 95 par Arno, Léo Ferré et Jean-Roger Caussimon se demandent quand la ville est sous la pluie « si c’est utile/Et puis surtout/Si ça vaut l’coup/Si ça vaut l’coup/D’vivre sa vie »
Oui, dit Arno, héritier patenté de la chanson, tendance dramaturges, Brel, Ferré, et créateur de rock depuis la fondation de TC Matic, son premier groupe, en 1980. Oui : au moins une chose vaut la peine, l’adrénaline, celle qui fait couler la tension et le plaisir dans les veines de l’artiste. Alors, prévient Arno, « je fais des disques pour faire des concerts ». C’est le but ultime.
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